Patrick Modiano

Patrick Modiano est né le 30 juillet 1945 à Boulogne- Billancourt. Après son baccalauréat il commence d´écrir. Outre les oeuvres romanesques il a écrit quelques scénarios pour les filmes Te quiero, Le parfum d´Yvonne, Lacombe Lucien, Une jeunesse, Généalogie d´un crime, Le fils de Gascogne, Bon Voyage. Derriére sa façade tranquille se cachent les blessures et les inquiétudes qui sont son inspiration sont aussi marqués par la mort de son frère Rudy. Ses romans sont pleins de l´absence et du vide. Il avait des problèmes avec le recherch de son identité- sa mère était flammande et son père était juive italien. Dans ses ouvrages il lutte contre l´oublie, p. ex. Rues des boutiques obscures, Villa triste( 1975), Dimanches d´août(1986),Vestiaire de l´enfance(1989), il utilise le mystère qui entourne la figure de son père, en Boulevards de ceinture(1972), ou le thème de la disparation dans le roman Un cirque passe(1992), son origine juive dans son premier roman la Place d´Etolie(1968), mais il utilise aussi les récits autobiographiques dans les romans Livret de famille(1976) et Remise de peine. Il a reçu le Prix Goncourt 1978 pour Rue des boutiques obscures, le Prix Roger Nimier pour le roman La Place d´Etolie et le prix de Foundation Pierre de Monaco pour l´ensemble de son oeuvre en 1984. Modiano a dédie tous ses romans jusqu´au 1978 à son frère Rudy.

Dans mon travail j´essayerai répondrer à 2 questions:
Quelles sont liaisons entre la vie d´auteur et l´oeuvre La Petite Bijou?
Les symbols dans le roman, qu´est- ce que vont ils montrer?

Dans le roman La Petite Bijou se déroulent deux histoires, toutes les deux se déroulent en Paris.
L´une histoire est la vie d´une jeune femme- Thérèse et l´autre de sa mére.
Thérèse passe les quartiers de Boulogne, tandis que Modiano est né en Boulogne- Billancourt. La mére de Thérèse est danseuse, elle a surrnomé sa fille, dans l´espoir d´une glorieuse carriére de la petite, à la Petite Bijou et même la mère de Modiano était commédienne. Thérèse vit toute seule à Paris, sa mère était, dit- on, morte en Maroc et Thérèse ne jamais connaissait son père. L´auteur avait le destin pareil- il était délaissé par ses parents- la mère multiplie les tournées théâtrales et le père poursuit ses «affaires à l´ètranger», avec les officines allemandes.
Un jour dans le métro Thérèse voit une femme qui lui ressemble sa mère. Elle s´est mis à la suivre. Cette femme habitait le quartier pauvre, toute seule, sans les amis.
En se retournant chez elle, Thérèse s´est évanouie devant une pharmacie. Une femme, pharmacienne, l´a aidé. Elle est raccompagné Thérèse jusqu´à sa chambre et elle y est resté jusqu´au matin.Elle est très gentille.

Dans quelques jours Thérèse a rencontré un jeune homme, Morreau- Badmaev, qui travailllait comme traducteur, qui rédige en français des informations de radio en langues étrangères.
L´auteur a trouvé l´inspiration pour cette personnage dans poète breton- Armand Robin1.)
Moreau- Badmaev est devenu l´ami de Thérèse.

«Il me regardait de manière si attentive que je me suis sentie en confiance comme avec la pharmacienne.»

Thérèse a commencé travailler comme baby- sitter chez M. et Mme. Valadier. Ils ont une fille, dont le nom n´est pas mentioné dans le livre, et habitent une grande maison, prèsque vide.
C´est une forte liaison avec l´appartement de Thérèse et sa mère- il était aussi prèsque vide. La fille des Valadier n´a pas l´attention de ses parents, même que Thérèse quand elle était petite. Les chambres de Thérèse et de la petite, toutes prèsque vides, peuvent symboliser le vide dans ses vies. Et c´est le même cas de Modiano- il était délaissé par ses parents, sans son frère.
La petite voulait avoir un chien, mais ses parents le lui ont interdit. Quand Thérèse était l´enfant, elle aussi, elle vouliat un chien. Sa mère lui a acheté le petit chien, mais un jour, sa mère l´a laisse partir, dans le bois de Boulogne.

«Un chien. Dés le début il a dormi dans ma chambre. Ma mère ne s´occupait jamais de lui. Et elle m´a dit qu´elle l´avait perdu dans le bois de Boulogne.»

Un chien peut être comprendre comme le symbol de la manque de l´amour chez toutes les deux filles.
Thérèse se souvient toujours à sa mère, à son enfance, à sa chambre, comment elle vivait au passé. Le plus, elle se souvient au tableau de sa mère, au milieu du mur vide, dans sa chambre. Il était grand et c´est seule image de sa mère dans l´oeuvre.

«Elle gardait la tête légèrement penchée, le regard à la fois dur et mélancolique, les bras croisés et appuyés sur la table.»

«Ce tableau m´avait suivie pendant toute mon enfance.»

Mais quand même, Thérèse n´avait pas d´élan trouver sa mère. Elle était désespèré.



1.)Armand Robin- poète français, il dénonça les propagandes radiodiffusées
.Thérèse se souvent rencontrait avec Moreau- Badmaev. Elle lui rancontait ses souvenir, ses problèmes. Elle lui a dit comment elle a obtenu le nom la Petite Bijou:

«Quand j´avais sept ans, on m´appellait la Petite Bijou. Ce n´est pas ce que vous croyez. Moi, c´était mon nom d´artiste.»

Dans ce livre, le nom La pPetite Bijou n´est pas le diminutif pour la petite fille donné par sa mère. C´était le nom d´artiste, pour le film.

Thérèse aimait regarder le lumière verte de radio. Il y a aussi des autres mentions de la lumière verte, comme c´était le symbol de la petite lumière dans sa vie, la lumière d´assurance, du début.

«L´enseigne lumineuse du garage projetait sur le mur, au-dessus de mon lit, des reflets rouges et verts. Cela ne me gênait pas. Au contraire, j´étais rassurée. Quelqu´un vieillait sur moi.»
«La bas, sur trottoir gauche, l´enseigne lumineuse d´une pharmacie. Je ne la quittais pas des yeux, de peur de me retrouver dans l´obscurité. Tant qu´elle brillait de sa lumière verte, je pouvais encore me guider. J´espérais qu´elle resterait allumée. »

Moreau- Badmaev et pharmacienne sont devenus les meilleurs amis de Thérèse. Dans cette pharmacienne elle a trouvé, peut- être, la mère qu´elle beaucoup manquait.

« Mais maintenant, j´avais la chance d´être en compagnie de quelqu´un auquel j´expliquerais tout.»

Thérèse est, quand même désespérée et «perdue». Tous ses doutes, ses souvenirs la ménent au acte désespéré- elle a avalé toute la boite des comprimés. Heureusement, pharmacienne l´a amenée à l´hôpital. A cause de la manque de la place, elle est dans la chambre pour les enfants prématurés. Ici, pour elle aussi, c´est le début de sa vie nouvelle.

«J´ai entendu longtemps encore le bruissement des cascades, un signe que pour moi aussi, à partir ce jour- là, c´était le début de la vie.»

L´autre histoire dans le roman parle de la mère de Thérèse. C´était la femme mystèrieuse. Elle s´appellait Sonya Cardérés. C´était son nom de la famille. Elle était danseuse, même la mère de Modiano était commédienne. Pendant l´histoire Sonia changeait quelques fois son nom. Elle a pris le titre comtesse. L´un de ses noms est aussi la Boche. On peut supposer que ce nom a une liaison avec le père de Modiano, qui, malgré son origine juive, avait les avantures avec les officines allemandes.

Sonya a confié sa fille à sa copine. Apès, ella a consulté tireuse des cartes, pour connaitre sa futur. C´est le signe du doute, les gens cherchent tireuse quand ils ont des problèmes. Sonya, elle aussi, avait des doutes, elle n´avait pas beaucoup de gens, autour d´elle, qui peuvent l´aider, l´assurer. Sonya, comme la mère, ne s´occupait jamais de sa fille après son départ. Sony n´avait pas le mari. Elle est partie en Maroc. Elle a fait annoncer à sa petite Thérèse qu´elle était morte en Maroc. Ce n´est pas exactement claire, mais elle s´est revenu après quelques ans, comme une vieille femme, pauvre, sans les amis, sans la famille. Ce n´est pas claire parce que Thérèse ne voulait pas resuscité ses souvenirs et elle n´a jamais plus cherché si c´était sa mère. Pour elle, sa mère était morte en Maroc...

Ce livre est plein des symbols et il est écrit au passé ou au présent, jamais au futur. C´est le façon typique pour Modiano. Chez lui on a impression que future n´existe pas, les choses et les personnages se perdent. Pour le lecteur est le livre passionant aussi pour le fact, qu´auteur a utilisé La Paris «réel»- le Porte Maillot, le Clignacourt, le bois de Boulogne, la rue Puget, tout ça existe .