Honoré de Balzac: Le colonel Chabert

L’auteur : Honoré de Balzac, né d'un père fonctionnaire impérial, il est mis en nourrice et grandit loin d'une mère qui lui préfère un enfant illégitime. En 1914, sa famille s'installe à Paris. Après des études de droit, Honoré de Balzac entre dans l'étude de clerc de notaire de maître Guillonet Merville. Mais il refuse d'embrasser cette carrière et devient journaliste et romancier. Malgré tous ses efforts, il n'entrera jamais à l'Académie française. Impressionnant par son énergie et sa puissance de travail, Balzac a dominé le XIXe siècle et marqué l'histoire de la littérature. Il est l'inventeur du roman moderne, véritable genre total, à la fois historique, social et privé. « La Comédie humaine », ensemble romanesque regroupant plus de deux mille personnages est à la fois une peinture réaliste de la société moderne et une tentative de saisir la diversité de l'espèce humaine : se voulant « le secrétaire de la réalité », l'auteur répertorie les différents groupes sociaux et les étudie à la manière d'un scientifique. Le roman balzacien, qu'il soit adoré ou critiqué, demeure aujourd'hui incontournable ; certains personnages de 'La comédie humaine' comme le père Goriot, Rastignac ou César Birotteau sont devenus de véritables légendes littéraires.

Les personnages : Le colonel Chabert
L’avocat Deville (l’homme de loi)
La comte (grófka)Ferraud - femme de Chabert après sa « mort »

Action du livre : L’histoire commence a 1817 avec un homme inconnu cherchant une réunion pour le cinquième jour dans le bureau d'avocat Derville. Habillé dans un vieux manteau et sale cravate, pâle et affamé, il ressemble plutôt à un sans-abri comme un homme vif. Il lui est dit à arriver à une heure du matin pour se rencontrer avec homme de loi. Quand il sort, un employé demande son nom.
« Chabert, » répond-il.
« Colonel qui est mort dans une bataille près de Eylau? » employé a demandé ironiquement.
« Précisément, » répond Chabert.
A une heure du matin, quand Derville arrive dans son bureau, il y rencontre Chabert, qui y déjà attend a lui. Derville écoute à sa narration et la croit. Célèbre colonel Chabert était une fois un bien aimé commandant du Napoléon, qui a gagné beaucoup de batailles, mais une fois, son cheval était tiré, et Chabert est tombé de lui. Tout le monde a pensé, qu’il est mort, mais il avait de la chance et avait survécu. Même qu’il était aussi mis en terre (bol pochovaný), il a déterré, et une femme lui a sauvé. Comme l’Odyssées, il a cheminé pour 10 ans. Mais différemment à l’Odyssées, la femme de Chabert n’espérait pas qu’il soit vif.
Après beaucoup des essais, quand Chabert essayait de la chance chez les autres homes de loi, Derville était le premier, qui l’avait écouté jusqu’à la fin et qui lui croyait. Mais il est un peu outré. Comment peut l’homme qui a fait la victoire dans la bataille près de Eylau vivre comme ça?

Après deux années quand il était à la prison, pour qu’il fût fou, il rencontre son ancien sergent et ami Boutin. Ces deux hommes qui ont gagné beaucoup des batailles, étaient maintenant jetés aux cimetières de l’Europe, psysiquement laids et non demandés. Derville est le premier de la société après Napoléon, qui a pu reconnaître célèbre colonel Chabert. Il lui donne de l’argent pour qu’il s’habille et s’achète quelque chose pour soi. Avant sa « mort », il était marié avec la compte Ferraud, mais après qu’il est devenu « mort », elle s’est remarié et a hérité une grande propriété de Chabert, qu’il veut maintenant gagner en arrière. Quand Chabert quittait le bureau de Derville, l’avocat allait chez madame Ferraud qui était maintenant très riche et favorisé par Napoléon. L’homme de loi lui dit, que son premier mari est toujours vif et il menace (vyhráža sa) de procès. La comte sait que ce ne serait pas seulement le procès, la perte de l’argent, mais surtout la perte de sa réputation, lorsqu’elle s’est remariée même que son premier mari n’était pas encore mort. Derville lui propose compensation en argent sans tribunal, avec la somme de l’argent convenu, ce que serait avantageux aussi pour Chabert et aussi pour madame Ferraud.

Ici, Balzac veut nous montrer Derville dans le rôle de commentateur et arbitre de la nouvelle société, qui connaît la situation intime de colonel Chabert et de madame Ferraud, il voudrait le résoudre mais ne sait pas précisément comment. Comme l’histoire continue, le désir de ressuscitation de colonel Chabert est dépassé par les intrigues cruelles de la comte Ferraud. Quelques jours après, elle arrive au bureau de Derville, parle avec lui, et veut convenir, bien sûr qu’avantageusement pour elle et désavantageusement pour le colonel, qui l’écoute de la chambre voisine. Après quelques minutes, colonel entre dans la conversation de Derville et la comte, et commence à crier à sa femme. Puis, quand madame Ferraud quitte le bureau, et le colonel, fâché mais malheureux aussi, elle le rencontre et prend lui à sa maison de campagne. Parce qu’elle sent, que le colonel l’aime toujours, elle se conduit a l’égard de lui très fin (správa sa k nemu veľmi jemne), elle attendrit (obmäkčí) son cœur avec son jeune enfant et utilise son secrétaire pour faire signer les papiers renoncent (ktorými sa vzdá) pour toujours son nom « Chabert ». Mais à la fin, le colonel se révolte et fuit (utečie) abattu (znechutený) sans signer les papiers, mais aussi sans obtenir de l’argent de sa propriété de sa femme. Puis il a disparu. Derville, qui n’a plus entendu rien de lui a pensé, que le colonel est tombé d’accord (dohodol sa) avec sa femme chez un autre avocat.
Un peu de temps plus tard, Derville lui rencontre à la prison, condamné comme une vagabonde (tulák). Et vingt années après, pendant que Chabert était à l’Hôpital de Bicêtre ou étaient logés les criminels fous dans les conditions cruelles, Derville encore rencontre Chabert, malade et fou.
« Bonjour, colonel Chabert ! »
« Aucun Chabert, non Chabert, je m’appelle Hyacinthe. Je ne suis pas un homme, je suis nombre 164, chambre n° 7.
« Quel destin ! » dit Derville « Il est né a l’hospice (sirotinec), il est rentré a l’hospice (starobinec) à la mort, après qu’il avait aidé au Napoléon avec conquérir tout l’Europe et l’Egypte. »

Morceaux du livre :
La dernière page de la livre :
- Aký údel! - zvolal Derville. - Vyrástol v sirotinci, zomrie v chudobinci a medzitým pomáhal Napoleonovi dobyť celú Európu a Egypt. - A po pomlke Derville pokračoval: - Viete, môj milý, že v našej spoločnosti sú traja muži, ktorí si nemôžu vážiť svet? Kňaz, lekár a advokát. Majú čierne odevy, azda preto, že nosia smútok za všetkými cnosťami, za všetkými ilúziami. Najnešťastnejší z tých troch je advokát. Ak človek príde za kňazom, privádza ho kajúcnosť, výčitky svedomia, viera, čo ho robí zaujímavým, čo mu pozdvihuje a čo ukája dušu prostrední¬ka: on očisťuje, napravuje, zmieruje. Ale pred nami advokátmi sa znova a znova vynárajú rovnako zlé city; nič ich nenapraví; naše kancelárie sú stokami, ktoré nemožno vyčistiť.

Čo všetko som sa ja naučil pri výkone svojej funkcie! Videl som zomrieť otca v smradľavej diere bez groša, opusteného dvoma dcérami, ktorým dal štyridsaťtisíc libier renty! Videl som horieť závete! Videl som matky, ožobračujúce vlastné deti, manželov, okrádajúcich manželky, ženy, zabíjajúce svojich mužov za pomoci lásky, čo v nich vzbudili, aby z nich urobili bláznov alebo hlupákov. Videl som ženy, ktoré v dieťati z prvého manželstva pestovali náklonnosti, ktoré mali spôsobiť jeho smrť, aby obohatili deti z druhého manželstva. Nemôžem vám prezradiť všetko, čo som videl, lebo som videl zločiny, proti ktorým je spravodlivosť bezmocná. Napokon, všetky hrôzy, ktoré románopisci vraj vymýšľajú, ďaleko zaostávajú za skutočnosťou. Vy poznáte tieto krásne prípady, vy áno; pokiaľ ide o mňa, budem žiť na vidieku aj s manželkou. Paríž ma desí.
J’ai choisi ce morceau, où Derville parle de destin du Chabert et de difficile profession d’avocat, parce qu’il me plait, et je pense, que c’est très bon fin de la livre.

Partie quand Derville a rencontré le colonel, après qu’il a disparu :
- A či ste si, - opýtal sa Derville, - nevymienili pre seba nejakú rentu?
- Ani mi o tom nehovorte, - odpovedal starý vojak. - Ani si predstaviť neviete, ako ďaleko siaha moje pohŕdanie k tomu povrchnému životu, na ktorom lipne väčšina ľudí. Zrazu ma zachvátil chorobný odpor k ľudstvu. Keď si pomyslím, že Napoleon je na ostrove Svätá Helena, všetko tu dolu mi je ľahostajné. Už nemôžem byť vojakom: v tom je celé moje nešťastie. Napokon, - dodal s naivným posunkom, -lepšie je byť bohatý na city ako na šaty. Neobávam sa pohŕdania zo strany nikoho.
J’ai choisi ce morceau, où Derville rencontre Chabert, après qu’il a disparu, parce que, il est très intéressent, comment le colonel a changé son opinion au argent, et comment lui a changé son amour à sa femme.

Mon point de vue : Le livre m’intéressait. Même, que c’était un peu difficile à lire au début, après, c’était une action très intéressante. L’histoire de colonel est émotive, même, je pense, que sa décision finale est un peu bizarre. Sa vie pourrait plus digne, s’il n’était pas aveugle de l’amour.